


Le monstre l’a englouti
Ça y est, c’est fini!
Il aurait dû le savoir
Il fallait le prévoir
Accroché à son ombril
Sa vie ne tient qu’à un fil
Et soudain…
Il refuse la fin
Le monstre le crache
Le bateau revient à la surface
Les humains, il n’aime pas ça
Il préfère les araignées et les rats
Mais dans la mer, ils se font rares
Alors, il cherche le hasard
Sauf cette fois-ci
Il ne fait rien, il subit
Parfois, la vie est capricieuse
La barque est heureuse
Elle a échappé belle
Un tourbillon d’étincelles
Avant de partir, le petit bonhomme
A promis de retourner ici
Où tout a commencer
Sans pourtant dévoiler
L’identité de cette créature
Qui se promène dans la nature
Le monstre de la mer
Ne sait plus quoi faire
Effrayer les bateaux?
Ou devenir populaire?
En tout cas, il est bien caché
Au fond de l’océan sombre et révolté
Seuls les plus téméraires
Peuvent comprendre la mer.
Filipa Moreira da Cruz
Photos : Filipa Moreira da Cruz
El mar existe antes que nos atreviéramos a soñarlo. Al nadar le damos un abrazo para entender su misterio. Excelente poema Filipa.
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¡Qué bonitas palabras Manuel! Me encanta abrazar el 🌊. Un saludo.
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Existe una canción que lo dice todo:
« En el mar la vida es más sabrosa
En el mar te quiero mucho más
Con el sol, la luna y las estrellas
En el mar todo es felicidad… »
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❤❤❤
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Poème intéressant sur les mystères de la mer. De belles photographies complètent le contenu du poème.
🙂
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💙
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