Coquillages qui craquent sous mes pieds
Prêtes à être ramasser
Telle une fille capriceuse et égoïste
J’oublie que grâce à la nature j’existe
Mes empreintes sur le sable semblent éternelles
Hélas, il suffit d’une vague pour qu’elles deviennent irréelles.
Filipa Moreira da Cruz
Photos: Filipa Moreira da Cruz
De malinha pronta 
The poem and photos of shells are lovely, Filipa! ❤ Walking on the sand can certainly remind us of our mortality.
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Thank you Cheryl. 🙏🏻 💙
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Gosto muito da maneira que você escreve, amiga!🌻
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Obrigada amiga! 🌻☀️
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🙏🍃
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J’entends le crissement du sable,c’est agréable, merci beaucoup, très bon week-end
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Merci et bon week-end Louise! 💛☀️
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